A cette talentueuse tenniswoman des années 1990, il ne manquait qu’un titre majeur quand elle prit sa retraite en 1996 ; elle avait juste vingt-six ans et à son actif quelques coups d’éclats qui lui avaient permis de se hisser à la quatrième place mondiale.
Après un mariage avec son copain pilote Krumm, alors que l’horloge biologique ne tourne pas en sa faveur, elle franchit le pas et reprend sa carrière professionnelle, douze ans plus tard. Sa place dans le top 100 WTA justifie son retour même si elle n’arrive à battre que des joueuses russes et que l’orgasme d’un Grand Chelem semble hors d’atteinte.
Le tennis est souvent le théâtre de ce genre de retour. Dans un passé assez proche nous pouvons citer le retour de Justine Henin après avoir annoncée sa retraite ou celui de Kim Clijsters.
Kimiko peut espérer battre un record historique, celui de la plus vieille vainqueur d'un tournoi WTA. Celui ci est pour l'instant détenu par Billie Jean King à 39 ans, 7 mois et 23 jours (Birmingham, 1983).
A ce modèle de longévité, nous ne pouvons passer à côté de l’opportunité de comparer
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire